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Nicolas Serve

Gianfranco Rebucini

Gianfranco Rebucini est docteur en anthropologie sociale et ethnologie à l’EHESS et chercheur associé au IIAC/LAIOS de l’EHESS. Ancien lauréat de la Bourse Fernand BraudelFMSH à l’université Brunel de Londres, il a travaillé sur les masculinités et sur les sexualités entre hommes au Maroc. Il a, entre autres, publié « Masculinités hégémoniques et “sexualités” entre hommes au Maroc » (Cahiers d’études africaines, 2013), « Homonationalisme et impérialisme sexuel : politiques néolibérales de l’hégémonie » (Raisons politiques, 2013). Il est aussi un des responsables éditoriaux de l’Encyclopédie critique du genre (La Découverte, 2016).

Geneviève Fraisse

Philosophe et directrice de recherche au CNRS, Geneviève Fraisse axe son travail sur l’épistémologie politique de la pensée féministe. Elle est l’auteure de nombreux ouvrages sur la généalogie de la démocratie, les concepts de l’émancipation citoyenne et artistique et la problématisation de l’objet sexe/genre. Elle fait une parenthèse politique (1997-2004) comme déléguée interministérielle aux droits des femmes, puis comme députée européenne. Elle a, entre autres, publié La Sexuation du monde, réflexions sur l’émancipation (Presses de Sciences Po, 2016), Du consentement (Seuil, rééd. 2017), La Fabrique du féminisme (Passager clandestin, rééd. 2018), Le Privilège de Simone de Beauvoir (Folio, Gallimard, rééd. 2018).

Houria Abdelouahed

Maître de conférences à l’université Paris-Sorbonne Cité, Houria Abdelouahed est aussi psychanalyste et traductrice. Outre plusieurs articles sur la langue, l’image et la féminité, elle est l’auteure, entre autres, de La Visualité du langage (L’Harmattan, 1998), Figures du féminin en islam (PUF, rééd. 2016), Violence et islam (entretiens avec le poète Adonis, Seuil, 2015) qui a été traduit en une quinzaine de langues, et Les Femmes du prophète (Seuil, 2016).

Marc-Alain Ouaknin

Rabbin et docteur en philosophie, Marc-Alain Ouaknin est directeur du Centre d’études juives Aleph à Paris et professeur associé au département de littérature comparée à l’université Bar-Ilan à Tel Aviv. En 2007, il cofonde le Projet Targoum, projet d’une nouvelle traduction de la Bible hébraïque, et l’Atelier Targoum, atelier de recherche sur la méthodologie de l’interprétation et de la traduction des textes fondateurs. Il est l’auteur de nombreux livres dont Le Livre brûlé (Seuil, 1987), Lire aux éclats. Éloge de la caresse (Seuil, 1989), Zeugma. Mémoires bibliques et déluges contemporains (Points Seuil, 2013), Invitation au Talmud (Champs essai, 2018).

Asma Lamrabet

Asma Lamrabet est médecin biologiste, membre de la commission nationale de l’Éducation, de la Culture et des Sciences de l’Académie royale du Maroc et du conseil d’administration de la fondation Les Trois Cultures. Directrice du Centre des études féminines en islam à la Rabita Mohammadia des Oulémas du Maroc (2010-2018), elle est actuellement présidente de la Chaire d’études sur le genre à la Fondation euro-arabe de Grenade et chercheuse associée à l’Omam. Elle reçoit en 2017 le prix Grand Atlas pour son essai Islam et femmes : Les questions qui fâchent (Éditions En toutes lettres) qui vient de paraître en France (Folio essais, Gallimard, 2018).

Sophie Bessis

Sophie Bessis a été journaliste avant de devenir, entre autres, secrétaire générale adjointe de la Fédération internationale des droits de l’homme et membre de la Haute instance tunisienne pour la sauvegarde de la révolution, la réforme politique et la transition démocratique. Elle est aujourd’hui chercheure associée à l’Institut des relations internationales et stratégiques (Iris). Sophie Bessis s’intéresse de près à la condition des femmes en Afrique et dans le monde arabe. Elle a publié de nombreux livres dont Les Arabes, les femmes, la liberté (Albin Michel, 2007) et Les Valeureuses : cinq Tunisiennes dans l’Histoire (Elyzad, 2017).

Monique Baujard

D’origine néerlandaise, Monique Baujard a été avocate au barreau de Paris pendant près de dix ans. Après des études de théologie, elle a travaillé pour la Conférence des évêques de France et elle est devenue la première femme directrice du service Famille et société. Elle est aujourd’hui chargée d’enseignement à la Faculté de sciences sociales et économiques de l’Institut catholique de Paris. Elle axe son travail sur la place de la femme, et plus largement celle des laïcs, dans l’Église catholique.

Estelle Doehr

Michel Peraldi

Michel Peraldi, anthropologue, est directeur de recherche à l’Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux (CNRS/EHESS). Il travaille sur les dynamiques migratoires dans le bassin méditerranéen, les circuits commerciaux informels entre Maghreb et Europe, en croisant une socio économie des économies grises et une anthropologie urbaine des métropoles directement animées par ces commerces et les mondes marchands qui les organisent : Marseille, Istanbul, Naples, Tanger.

Il est notamment l’auteur de Gouverner Marseille. Enquête sur les mondes politiques marseillais (avec Michel Samson, La Découverte, 2005), Casabalanca, figures et scènes métropolitaines (avec Mohamed Tozy, Karthala, 2001), Sociologie de Marseille (avec Claire Duport et Michel Samson, La Découverte, 2015), et Marrakech, ou le souk des possibles (La Découverte, 2018). Coécrit avec Michel Samson, son dernier livre, Marseille en résistances, fin de règnes et luttes urbaines, est paru en 2020 aux éditions La Découverte.

Aux Rencontres d’Averroès annulées en novembre 2020, il était invité à dialoguer avec Rebecca Lighieri, écrivaine, lors d’un rendez-vous littéraire intitulé « Marseille, cité à la dérive ? ».

H.Bamberger/Editions P.O.L

Rebecca Lighieri

Rebecca Lighieri est le pseudonyme de l’écrivaine Emmanuelle Bayamack-Tam. Originaire de Marseille, agrégée de lettres modernes, elle enseigne le français dans un lycée de la banlieue parisienne depuis trente ans. Elle est codirectrice, avec Jean-Marie Gleize et Olivier Domerg, des éditions Contre-Pied depuis leur création en 1994.
Elle prend le pseudonyme de Rebecca Lighieri pour écrire des romans noirs comme Husbands (P.O.L, 2013), sa première incursion dans le genre policier, puis Les Garçons de l’été (P.O.L, 2017). Son dernier livre, Il est des hommes qui se perdront toujours (P.O.L, 2020), est un roman d’initiation sombre et éblouissant dont le narrateur est un enfant des quartiers Nord de Marseille.

Aux Rencontres d’Averroès annulées en novembre 2020, elle était invitée à dialoguer avec Michel Peraldi, anthropologue, lors d’un rendez-vous littéraire intitulé « Marseille, cité à la dérive ? ».

Camille Ammoun

Né à Beyrouth, Camille Ammoun a vécu dix ans à Dubaï. Il travaille sur les questions de résilience et de durabilité urbaine et vit entre Paris et Beyrouth. Son premier roman Ougarit (Inculte, 2019) a reçu le Prix France-Liban 2019 de l’ADELF. Paru en octobre 2020 aux éditions Inculte, Octobre Liban est son deuxième roman.


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